Le tissage artisanal
Romane s'est formée sur les réseaux sociauxAprès deux licences en histoire de l’art et littérature suivies d’un master de recherches, Romane a ressenti le besoin de revenir à l’essentiel et à sa passion de l’artisanat de façon plus concrète. Celle qui se voyait travailler dans un musée à la fin de son master a décidé de renouer avec sa créativité et les travaux manuels, de peur d’être enfermée au quotidien.
C’est sur les réseaux sociaux que Romane a découvert l’art du tuftage. Sur un coup de tête, à 25 ans, elle décide d’acheter le matériel de base pour se lancer en autodidacte grâce à des tutoriels en ligne.

C'était aussi un vrai challenge personnel de me lancer dans l'apprentissage du tuftage. J'avais besoin de me réapropprier mon corps, de voir que je pouvais faire quelque chose de mes mains. Je suis très contente et fière du chemin parcouru. J'ai réalisé que, quand j'ai quelque chose en tête, une fois que je suis lancée, je vais au bout.